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Commentaire

Fondation de Sainte-Justine, il y a cent ans! — 5 commentaires

  1. J’ai erré ! J’en conviens, je l’avoue!
    J’ai erré de 15 pieds!
    car en s’enfonçant
    de 15 pieds, 5 mètres… sur le terrain, vers la maison,
    dans le même axe,
    la même prise de vue peut – être faite
    sans les arbres qui obstruent la vue
    et sans avoir à retoucher lourdement le résultat
    pour faire l’image connue !
    J’ai erré de 15 pieds! J’en conviens, je l’avoue !
    °°°°°°°°°°°°°°°
    Mais… ??? Gabriel … qu’est – ce qui justifie la note :
     » D’APRèS PHOTOGRAPHIE
    LAPRÉS & LAVERGNE
    MONTREAL  » ?
    J’avais d’abord cru qu’il existait un
     » dessin en perspective  » de l ‘architecte Lionais de + – 1870…
    illustrant la résidence des frères Lionais…
    dessin encore accessible en 1901 et même plus tard, + – 1910 ?
    dont se serait servi le photographe
    pour s’aider à se placer tout de suite au bon point de vue
    pour photographier la résidence?
    En plaçant l’objectif à la même hauteur
    que le plancher de la galerie .
    Et que l’appareil photo était alors situé sur le trottoir
    de l’avenue de Lorimier !
    Je vais errer de nouveau et suggérer
    que pour obtenir l’image finale,
    ayant avancé de 15 pieds sur le terrain …
    le photographe aurait dû prendre 3 ( 5 ? ) photos
    en faisant un petit  » panoramique « ?
    L’ouvrage de l’artiste graphique
    aurait alors consisté à  » coller  » ces trois photos
    sans que ce travail laisse des traces sur
    le résultat final !?
    Y a -t -il un historien – photographe – architecte dans la salle ?

  2. Une bizarrerie, devenue une icône ?
    Je trouvais qu’il y avait deux bizarreries présentes dans l’image de l’hôpital Sainte – Justine
    ( 1908 – 1914 ) la plus répandue sur internet:
    Première bizarrerie :
    Cette mention, en bas à droite :
     » D’APRèS PHOTOGRAPHIE LAPRÉS & LAVERGNE MONTREAL  »
    Voici ce que j’ai trouvé lors d’une recherche :
    http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2291964
    journal La Presse, samedi 17 avril 1982, G. Vivre aujourd’hui page G1
    la photo est pleine d’arbres où l e « bas de vignette  » mentionne :
     » De 1909 à 1912, l’hôpital Sainte-Justine a logé dans cette grande maison de la rue de Lorimier qui comptait une vingtaine de lits  »
    J’en déduis que :
    L’image, … » l’icône  » que nous connaissons tous aujourd’hui de l’hôpital Sainte-Justine de 1908 à 1914
    semble bien être un travail
    fait au  » Photoshop  » ( !!! ) de l’époque ( vers 1909 ? )
    c’est à dire une reconstitution où l’artiste graphique de 1909
    a travaillé dur pour enlever les arbres
    qui paraissent sur la photographie originale !!!
    et faire apparaître ainsi l’image parfaite,
     » l’icône  »
    que nous connaissons depuis !!!

    • Bonjour Jean-Paul,
      D’après moi, les arbres sont là et le studio de Laprés et Lavergne a du installer sa caméra plus à l’intérieur du terrain, derrière la ligne des arbres ???

  3. Bravo pour votre société généalogique et cette petite histoire de l’hôpital sainte-Justine
    Dans le cadre de mon projet poétique blogs-musée aléatoires pour déposer mon oeuvre littéraire aléatoire,
    Permettez-moi de vous offrir une chanson sur le thème de l’hôpital Sainte-Justine
    En arrière de l’hôpital Sainte-Justine

    En arrière d’l’hôpital Sainte-Justine
    tout au fond du parking des Jos Bines
    y a une clôture de broche un peu moche
    avec un trou qui a l’air un peu croche
    J’ai marche toute la nuit
    en vagabond poète
    avais besoin d’une cachette
    pour lire le journal le Devoir
    avant d’m’endormir un beau soir

    Refrain
    dans le cosmos
    y a plein de trous noirs
    qui avalent des soleils
    par milliards
    comme Chantal Hebert
    dans son bel habit noir
    aspire toute ma lumière
    quand j’la lis dans l’Devoir

    En arrière d’l’hôpital Sainte-Justine
    tout au fond du parking des Jos bines
    j’ai passé au travers du trou noir
    de la clôture, tel un soleil dans l’soir
    pour tomber sur des feuilles
    qui me craquent dans ‘dos
    comme je craque
    pour une femme cerveau
    passionnée de ses mots
    comme du chant des oiseaux

    En arrière d’l’hôpital Sainte-Justine
    tout au fond du parking des Jos Bines
    Ulysse rêve de sa Pénélope
    Dulcinée sourit à Don Quichotte
    j’ai spotte ben caché
    sous le pont de Ste-Rose
    un vieux carré d’ciment
    pas d’clôture en avant
    pour une nuit d’poésie
    enflammée par sa prose

    Refrain final
    dans le cosmos
    y a plein de trous noirs
    qui avalent des soleils
    par milliards
    comme Chantal Hebert
    dans son bel habit noir
    aspire toute ma lumière
    quand j’la lis dans l’devoir
    comme Chantal Hebert
    dans son bel habit noir
    quand je dépose
    ma tête endormie
    sous la douce page éditoriale
    du Devoir

    Pierrot
    vagabond céleste

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