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Commentaire

Le vin de l’Indépendance — 4 commentaires

  1. Ce type était tout un tribun. Il captivait littéralement ses auditeurs avec un langage dont il possédait une maîtrise incroyable. Un phénomène ! Le vin était-il bon finalement? Il semble qu’on peut le présumer !!!!!

    • Si des experts avaient bu de notre vin, il est fort à parier qu’ils se seraient étouffer! En 1964, le Québécois moyen s’y connaissait peu en vin et les comptoirs (sic) de la Commissions des Liqueurs offraient peu de choix, d’où ce désir de s’aventurer dans ce projet. Mais le clou de cet article n’est de cette «horrible piquette», comme chantait Jean Ferrat, mais la présence de ce monument qu’était Pierre Bourgault, qui proposait déjà l’indépendance du Québec et qui savait comment nous faire rêver.
      La seule chose que je regrette 50 ans plus tard, c’est «où était mon Kodak ?»

  2. J’adore ces petites histoire qui soutiennent la grande. Et je suis fier de Marie Josée Hudon, notre illustratrice préférée, qui a donné son accord pour que le portrait de Pierre Bourgault soit inclus dans l’encyclopédie canadienne.

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