Scènes d’hiver
Avant l’avènement de la souffleuse à neige pour déblayer les rues de Montréal, on se contentait de passer la charrue pour les dégager. Ainsi la neige s’accumulait sur le bord … Lire la suite →
Avant l’avènement de la souffleuse à neige pour déblayer les rues de Montréal, on se contentait de passer la charrue pour les dégager. Ainsi la neige s’accumulait sur le bord … Lire la suite →
Au début des années cinquante, la congestion automobile et l’heure de pointe ne présentaient pas vraiment un problème sur la rue Papineau. Les véhicules motorisés circulaient sans encombre en compagnie … Lire la suite →
Lorsque les amies n’étaient pas disponibles ou qu’il pleuvait à boire debout comme on disait, il fallait bien s’occuper en solo. Deux jeux m’aidaient à passer le temps et me … Lire la suite →
Qu’on y entre à 14 h 00 un mardi ou à 02 h 00 dans la nuit du samedi au dimanche, on doit suivre une file d’attente. On y entend … Lire la suite →
Pour employer un langage moderne, dans les années cinquante à Montréal, les écoles étaient genrées. Les filles avec les filles et les garçons avec les garçons. Nos jeux subissaient le … Lire la suite →
Vous connaissez déjà ma grand-mère maternelle Florida. Vous savez aussi qu’elle était notre voisine de palier et que j’allais très souvent chez elle (revoir l’article « Quintuplex sur le Plateau« ). Elle … Lire la suite →
L’histoire commence avec ma grand-mère maternelle, Florida, une femme dotée d’une joie de vivre indestructible. À la fin des années trente, devenue veuve à quarante ans avec dix enfants, elle … Lire la suite →
Dimanche 22 mai 1959 un feu se déclarait au-dessus du magasin Larivière et Leblanc dans une salle de jeu de quilles et qui heureusement a pu être rapidement jugulé par … Lire la suite →
À l’école primaire Paul-Bruchési, sur le boulevard Saint-Joseph entre les rues Chambord et de Lanaudière, fréquentée par ma petite chérie de la maternelle à la sixième année, il existe une … Lire la suite →
Au début des années soixante, au 5156 rue Papineau, au nord de Laurier, ma famille habitait un quatre pièces exiguës. Les jours de lavage, un cérémonial d’étendage du linge pour … Lire la suite →