Rue Rachel …une valse à trois temps.
Je reprends un sujet dont je vous ai déjà entretenu le 24 juillet 2006. Il s’agit d’un témoignage photographique présentant le coin Rachel et Saint-André à une époque révolue. La date est inconnue mais on pourrait risquer le tournant du XXeme siècle. Voici de quoi avait l’air ce carrefour il y a un peu plus de cent ans (agrandir en cliquant sur les photos).
Je trouve qu’il s’agit d’une belle photo d’atmosphère qui, sans tomber dans la nostalgie, nous aide à imaginer comment était la vie quotidienne à cette époque.
Récemment, en parcourant le site internet de la Société d’histoire et de généalogie du Plateau Mont-Royal, j’ai vu dans la section photographies, un dossier de Daniel Heykalo, présentant diverses photos fort intéressantes de ce photographe. Le Plateau est le sujet de prédilection et en visionnant les photos je suis « tombé » sur une image qui me disait quelque chose.
Trouvez-vous des airs de famille entre les deux photos? Prise en 1977, la deuxieme nous montre que la réclame pour le tonique capillaire est toujours aussi présente. Est-ce un signe de la pérennité des résultats de ce produit « miracle ». On dirait bien! En tout cas, depuis 1977, la maison est disparue (le chien aussi, sûrement); il ne reste que la borne-fontaine (qui elle-même a été remplacée) et je commence a être inquiet pour ma personne.
Toujours est-il que je voulais vous montrer l’évolution subie par ce petit coin de notre quartier. Je suis allé prendre une photographie de ce même coin aujourd’hui. Voilà le résultat :
Trouvez-vous qu’il y a une belle amélioration? C’est peut-être pas beau la nostalgie, mais maudit que c’est moins beau le progrès.
C’est vrai, mais,
C’est vrai, mais, au moins, la petite clôture n’est pas affreuse.
Votre système n’aime pas les accents circonflexes et peut-être d’autres accents. De toute façon on va écrire Montréal sans accent très bientôt.
C’est quand même curieux que vous vous intéressiez à ce Mordecai qui a traité nos mères canadiennes-françaises de « grosses truies » dans une revue américaine à grand tirage. L’assemblé nationale bourrée de colonisés n’a même pas daigné condamner cet homme alors que cette mémé assemblée a condamné Yves Michaud pour des propos qu’il n’a pas dit. Et mmêe Michel Tremblay n’a même pas soulevé la plume pour défendre ses femmes, dixit avec un grand étonnement un ancien consul américain en poste au Québec.
Je vais m’abonner à votre revue. À part mordicai, votre blog est très intéressant.
Jean-Paul Martel