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Commentaire

Steinberg’s dans le Plateau — 16 commentaires

  1. Je pense que Jean Coutu récupère les anciens emplacements Steinberg. Il y en avait un autre dans le quartier Rosemont au coin de Saint-Michel et Masson début des années 70.

  2. Quand je suis revenu habité à Montréal en 1965, il n’était pas fermé et donc j’ai connu ce Steinberg jusqu’à sa fermeture.

  3. Saint-Denis – Mont-Royal
    Mon premier emploi comme caissière (training important) 1958 à 32 $ /semaine en commençant et 10$/mois en extra si nos erreurs à la caisse n’excédaient pas 10$ (en trop ou en moins). Possibilité de faire un prêt déductible sur notre paie. Je fus la Reine des Caissières pour ma succursale en 1960 avec ma photo affichée au magasin.
    Après deux ans j’avais 50$/semaine. J’ai quitté Steineberg’s pour me marier. Ils m’ont offert un magnifique cabaret en argent de la maison Birks. Nous étions responsables et fières.

    • Merci pour ce commentaire qui ne lésine pas sur les détails. Vous nous décrivez bien la culture d’entreprise qui régnait chez Steinberg et comment elle rejoignait les employé.e.s.
      J’aime beaucoup votre conclusion : « Nous étions responsables et fières ». Sans préjudices aux valeurs véhiculées ou partagées aujourd’hui, cette petite rigueur est maintenant disparue !

  4. Pour ce qui est du Steinberg sur la rue Saint-Hubert et Boucher, moi j’y ai porté les commandes avec ma petite barouette à 4 roues c’était vers les années 1964-65

  5. Le livreur de lait ( le laitier )
    Le livreur de pains Wonder ou Weston…?
    Le gueneilloux, le livreur de glaces,
    les fermiers qui vendaient…des fraises, des tomates, des concombres à vendre… ils le criaient presqu’en chantant,aussi l’aiguiseur de couteaux avec sa cloche.
    Quels souvenirs!
    Moi j’habitais sur la rue Chabot entre Masson et Laurier 1959-1966 et sur le Boulevard Saint.-Joseph 1966-1980.

  6. Que penser des voitures tirées par des chevaux qui passaient dans les ruelles en sonnant leur cloche, pour livrer les blocs de glace pour les glacières, des fermiers qui venaient y vendre leurs fruits et légumes, des «gueneilloux» qui récupéraient les vieux vêtements.
    Et sur la rue, du livreur de pain ou du laitier dans leurs voitures aussi tirées à cheval, qui passaient été comme hiver faire leurs routes régulières.
    Des tramways sur De Lorimier, Mont-Royal et Papineau..

    • Ouin…
      Les fermiers qui criaient « Des fraises, des tomates, des concombres… ». il y avait aussi l’aiguiseur de couteaux et de ciseaux avec sa grosse meule (j’ai pas dit « sa grosse moll, là, là!).
      Et dans la rue, il y avait le livreur de pain Durivage et le laitier JJ Joubert qui arrivaient dans une calèche à ch’fal. Mes petits-enfants ont du mal à croire le vieux quand il leur raconte ces vieux souvenirs!

  7. Je découvre ce site. Et en particulier cette image du Steinberg de mon enfance.
    J’en avais oublié la façade. Mais je n’ai pas oublié le « couvent des soeurs », tout juste à l’ouest, qui faisait face à la rue Chabot. Ni le « Palace Meat Market », en face du Steinberg. Ni Brokaert, ce boulanger belge établi sur Mt-Royal, côté sud, à l’est de Bordeaux.
    Steinberg, c’était pratique… mais chez nous, le pain venait de chez Brokaert et la viande, du « Pââlusse Meat Market »; Steinberg, c’était pour les autres trucs. Quoique – à l’époque, J.J.Joubert livrait le lait, et Durivage livrait le pain dans des voitures tirées par des chevaux.
    Mes souvenirs les plus anciens remontent à 1953-54.

    • Le couvent des soeurs… moi et mes amies grimpions en cachette par dessus la clotûre en arriere pour avoir acces a leur magnifique jardin de fleurs.. et aux balancoires.. Un jour nous aons eu assez de  »guts » pour aller sonner a la porte et demander de visiter le couvent.. La directrice a accepté et nous avons meme eu droit aux petits biscuits fait  »maison » dans leur grande cuisine.

  8. Steinberg Bordeau et Mont-Royal
    Le Steinberg fut l’endroit ou j’ai eu mon premier travail .. en effet toute jeune j’allais m’installer devant le marché Steinberg et j’attendais que les clientes sortent pour leur offrir de porter leur  »commandes » chez elle avec ma petite brouette en bois. J’avais comme pourboire 5 cents la plupart du temps.
    De beaux souvenirs du quartier.
    Merci !

    • Moi aussi ce fut mon premier travail mais au Steinberg sur la rue Saint-Hubert au sud de Saint-Grégoire.
      Que de beaux souvenirs.

  9. Merci
    Merci de poster les photos que j’ai publiées pour relater le supermarché de la rue Mont-Royal. Steinberg avait aussi adresse sur le Plateau à un autre endroit: Saint-Hubert près des Carrières (le supermarché Métro…)

  10. Steinberg sur Jean-Talon
    Je connaissais cette histoire. L’origine des super marchés.
    Avant il fallait demander au comptoir ce qu’on désirait. J’ai habité dans ma prime jeunesse sur Jean-Talon, en face du marché Shamrock (marché Jean-Talon aujourd,hui)Sur Jean-Talon, il y avait, je crois, le 2e des Steinberg.
    J’adore votre revue.
    C’est vraiment une belle initiative.
    Merci !

    • J’ai habité au 285 Jean Talon jusqu’en 1952.
      Mon père avait l’épicerie A Duplessis en face du Steinberg.
      Je crois que Steinberg n’ avait pas de permis de bière à l’époque. Vous souvenez-vous?

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