Une vie à couper des cheveux
L’emplacement de l’actuel coiffeur « Bobby Pin » de la rue Laurier …en 1972. On traverse le temps, mais…toujours des cheveux et toujours des affiches « À vendre ».
Pour ceux qui s’en ennuient, on peut aussi voir le reflet du « Dairy Queen » dans la vitrine (qui deviendra le chic « Vincent » un peu plus tard). On distingue aussi Madame Landriault, assise sur la chaise, qui semble attendre les clients aussi patiemment que son mari.
Photo d’Alain Chagnon, depuis « Images du québécois 1972-1984 » et depuis Photos de Montréal et scènes urbaines.
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