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Commentaire

Parc des Compagnons de Saint Laurent et pensionnat Mont-Royal (1896-1972) — 8 commentaires

  1. Dans le cinquième dialogue il est question de cinéma en plein air avec « Monsieur Lazhar ». Cela m’a intrigué et j’ai trouvé auprès de l’Université de Sherbrooke cette réponse que je partage avec vous :
     » La première du film « Monsieur Lazhar » a lieu au Cinéma Impérial de Montréal, en guise de cérémonie de clôture du 40e Festival du nouveau cinéma.
    C’est un hommage aux professeurs qu’a voulu rendre le réalisateur Philippe Falardeau, 43 ans, avec ce film socialement engagé. L’histoire est celle de la rencontre entre un immigrant algérien, Bashir Lazhar, et les élèves d’une classe de sixième année. M. Lazhar devient leur remplaçant après le suicide de leur institutrice. Ce long-métrage est une adaptation cinématographique de la pièce de théâtre Bashir Lazar, d’Evelyne de la Chenelière. En septembre 2011, le film remportait le prix du meilleur film canadien au Festival international de Toronto, en plus d’être désigné pour représenter le Canada dans la course aux Oscars, catégorie du meilleur film étranger. Il s’agit d’un quatrième long-métrage pour le réalisateur québécois Philippe Falardeau. Son premier remonte en 2000, avec la sortie de  » La moitié gauche du frigo  » , une critique cinématographique du capitalisme. Le film « Monsieur Lazhar » aborde quant à lui les thèmes de l’immigration, de l’enfance et de l’éducation. «Enseigner, c’est aussi éduquer », souligne le jeune réalisateur. »

  2. À l’arrière du Couvent du côté de la rue Bordeaux, en hiver, une immense glissade.
    De la ruelle, on jasait avec les pensionnaires qui y glissaient.
    Soudain deux religieuses venaient nous dire de cesser de déranger les pensionnaires.
    On recommençait le lendemain.

  3. Un coquin et amusant dessin du pensionnat avec des jeunes filles pas du tout disciplinées. J’aime bien.

  4. Marie-Josée notre illustratrice a voulu, en guise de chouettes que l’on place habituellement sur les faites des toitures pour effaroucher les pigeons, les remplacer par des diablotins chargés de surveiller chacune des pensionnaires.:-)

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