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Le Centre Immaculée-Conception en 1955 – et le frère Raymond Bédard — 11 commentaires

  1. Hommage à Pauline Cédilot !
    Ma mère était reconnue dans notre grande famille comme une organisatrice imaginative qui s’occupait toute les festivités familiales, dans la joie. Ce sont ces caractères qu’elle me légua et qui expliquent les succès que j’ai connus en tant qu’organisateur d’activités et professeur d’éducation physique. Voilà pourquoi je me devais de lui rendre cet hommage.

  2. Salut à tous ,
    Né en 1944 en plein faubourg à m’lasse j’ai fréquenté l’école primaire Saint Pierre apôtres, mais en 1959 mes parents ont achetés une maison a Saint-Léonard de Port Maurice qui fut connu sous le nom de Saint Léonard aujourd’hui un quartier de Montréal. N’ayant pas d’école primaire ni secondaire, par décret, nous pouvions choisir une école de notre choix à Montréal. J’ai donc choisis Saint-Pierre-Claver pour terminer mon primaire puis Saint Stanislas pour mon secondaire. Alors simple quidam, j’ai côtoyé l’emblématique en devenir, le plus grand écrivain et homme de lettre du Québec Michel Tremblay qui y terminait son cour classique. Tous mes amis furent donc à mon adolescence des gars et fille du Plateau. J’ai fréquenté le mini théâtre des « Apprentis Sorciers » et plusieurs piôles du quartier dont La Catastrophe du peintre Tex Lecor qui devint un personnage polyvalent du show biz Québécois. Au début des années soixante, Le Plateau en tant que quartier n’existait pas, bien que tout étaient en place pour le recevoir. La bohème y était déjà présente pour la plus grande joie des artistes en herbes.

  3. Salut bien, Robert ,
    De nos jours l’âge est bien relatif , en 50 ans la femme a gagné en longévité, soit 86 ans et l’homme 83 ans. En 1970 un homme de 70 ans était un vieillard, aujourd’hui il est dans la fleur de l’âge. J’ai 79 ans et j’ai un ami de 86 ans qui nage 30 minutes non-stop 3 fois semaine, comme moi. L’important est de vivre en forme et en santé il va de soit, de corps et d’esprit.
    Longue vie à vous cher ami.

    • Merci beaucoup cher Robert Dufort,
      J’ai moi-même 87 ans bien en santé mais je commence à en perdre du côté énergie. Je continue quand même à faire des exercices quotidiennement et ça entretient l’énergie qu’il me reste.
      Longue vie à vous aussi cher ami.

  4. Oui j’ai des souvenirs du centre, où ado j’allais à la danse le dimanche apès-midi, c’était au milieu des années 60. C’était une belle période M Cédilot vous habitiez à quelques pâtés de maison où habitait ma mère Lucette Prieur au 4618 rue Fabre.
    C’est drôle en même temps, votre nom de famille me dit de quoi?
    Eh bien oui! Les Cédilots sont reliés à la généalogie de ma mère la branche des Prieur.

    • Wow!!! Mr Robert Cédilot (dit Cédilotte) est mon parrain, le filleul de ma mère.. Elisabeth Cédilot..comme je suis fière de lui…
      Bravo ???

  5. Ping pong, billard, piscine, que de souvenirs…
    J’ai bien connu le père Sablon…
    Et Richard Belec, qui restait tout à côté du Centre…une fois marié.

    • Bonjour M. Jacques Perreault,
      En effet quels beaux souvenirs n’est-ce pas! Pour ma part j’étais professeur d’éducation physique pour les jeunes le samedi et le dimanhe. J’assistais Gilles Brouillette aux concours d’amateur et nous avons eu la chance de recevoir Ginette Reno qui en était à ses toutes premières expériences et qui gagnait haut la main toutes ses compétitions.

  6. Je me souviens de ma première visite au centre. C’était en 1957 et j’avais été visiter le « gym de boxe » avec mon oncle qui tout comme mon père était un fervent de boxe. Nous y avions rencontré un ex-boxeur d’origine française Raymond Yersin, ami de mon oncle qui a 70 ans s’entrainait pour la forme, les gants en moins.
    J’ai aussi connu un phénomène du non de pompon Miron un amateur et personnage du temps. J’avais eu le privilège de voir mon idole à l’entrainement, monsieur Robert Cléroux champion poids lourd canadien et 7 e aspirant à un titre mondial. Je l’ai même vue « sparrer » avec Georges Thibault, qui suivit Bob Cléroux quand il changea de manager et transporta ses pinacles au loisirs Saint-Jean Baptiste rue Rachel. J’aimais la boxe mais mon paternel ne m’a jamais autorisé à en faire.
    Par la suite j’ai connu le père Sablon lors de mes séjours à « L’auberge du P’tit Bonheur », une de ses grandes réalisations.
    Quels souvenirs j’en garde !

    • Bonjour à vous Robert Dufort,
      Oui je suis d’accord avec vous ce fut une période de vie intense qui nous a donné l’occasion de nous développer autant sur le plan physique que spirituel. Dans mon cas le fait de pouvoir aider les jeunes à se développer dans leur santé et à évoluer dans leurs capacités physiques, furent des expériences vraiment enrichissante et qui m’ont donné le goût de continuer à servir par le bénévolat presque toute ma vie.
      Aujourd’hui à 87 ans et en bonne santé, je me repose traquille chez moi.
      Passez ue excellente journée !

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