Bannière de la Société d'histoire du Plateau-Mont-Royal

Commentaire

Rosa Bélair, femme de son époque – Sa vie de mère de famille — 9 commentaires

  1. J’en apprends beaucoup sur la famille de mes grands-parents. Je suis surprise de voir une photo de la célébration de leur 25ème anniversaire de mariage, j’ai souvenir de la célébration de leur 50 ème en 1967, au Manoir Mercier sur la rue Rachel, où nous étions présents. Grand-papa a eu la générosité de faire l’achat de maisons pour loger ses enfants à faible loyer. L’achat d’un lot au cimetière en 1920! Encore pour ses descendants, ce lot est encore disponible d’ailleurs.
    Lionel semblait faire confiance à sa famille pour prendre des décisions importantes. Je le vois différemment aujourd’hui.
    Merci Jacques pour ces recherches

  2. Très intéressant, j’ai appris plusieurs détails que j’ignorais.
    Des photos qu’on s’amuse à scruter longuement. Un voyage dans le temps, au cœur de notre famille en plus !
    Merci beaucoup, Jacques, pour toutes ces recherches,
    Claude

  3. Belle histoire de famille rattachée au Plateau et à Saint-Stanislas. C’est aussi le lieu de mon baptême du mariage de mes parents et de mes grands-parents paternels en 1918. C’est aussi la paroisse de ma mère adolescence au 4618 rue Fabre.
    Merci pour les nouvelles du blogue

  4. Superbe! Il y a plein de souvenirs qui me sont remontés, car j’étais de la Paroisse Saint-Stanislas moi aussi. Je m’aperçois que les histoires de ma famille ressemblent à celle écrite ici. Je suis un grand nostalgique quand il s’agit de ma famille et je vois que je le suis même avec les familles des autres. Beau récit!

    • Je cherche mon père biologique qui aurait eu 4 garçons avant moi Michel, Richard, François et Robert. Mon père se nommait Raymond Pilon il était musicien dans les bars années 70.
      Si ca vous rappelle quelque chose j aimerais bien le savoir 🙂
      Merci d’avance

  5. Très intéressant document sur l’histoire de cette famille. Le récit nous rappelle qu’en ce temps-là, les mères «partaient souvent pour la famille» car l’église et le curé veillait au grain. Pas question «d’empêcher» la famille. Les familles étaient nombreuses mais cela ne les empêchait pas d’être très heureuses et de développer de magnifiques souvenirs. Un sacré moineau ce Lionel qui parvient à acheter autant de logements pour y loger toute sa famille. Je pense que j’aurais dû me faire barbier!

  6. …Lionel avait l’habitude d’aller jouer aux cartes, au 500,…
    En montant cet article j’ai cru que c’était une adresse de rue, or je viens d’apprendre que le “500” était un jeu de cartes.
    En bon français, ce jeu de cartes m’était totalement inconnu. Toujours en apprendre sur les us et coutumes du Québec, c’est ça ce qui fait le charme de ces articles.

  7. A propos du mot “porteuse”
    Je connaissais la “mère porteuse” mais j’apprends qu’en 1918 par l’article de journal qu’il y avait des “tantes porteuses” lors d’un baptême.:-)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

HTML tags allowed in your comment: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>