Bannière de la Société d'histoire du Plateau-Mont-Royal

Commentaire

Scène de rue 6. Rue Fabre — 10 commentaires

  1. Merci de nous faire vivre ces moments privilégiés de ces pionniers du Plateau.
    Au moment de ma naissance, mes parents habitaient au 3ème étage du 5283 de la rue Fabre. Mes souvenirs de cette résidence se sont envolés mais mon père m’avait dit qu’il avait installé une clôture grillagée pour rehausser celle existante car apparemment j’aimais propulser mes jouets en bas du balcon du 3ème ! C’était l’apprentissage de la gravité.
    Je possède un film 8mm qui me montre assis sur ce balcon sur les genoux de mon grand-père; on était en 1952.

    • Merci de partager vos souvenirs!
      Le lancer d’objets en bas du balcon, un plaisir sans fin! Un film en prime! Votre grand-père venait-il du quartier Laurier Est?

      • Mes grands-parents Caron habitaient la rue de Normanville près de Rosemont. Mais précédemment, ils logeaient sur la rue de Lauzon, intersection Rivard jusqu’en 1936.
        Je sais aussi qu’un pharmacien au nom de Jean-Baptiste Caron tenait commerce sur Laurier est. Il était mon petit-petit-cousin.
        Par ailleurs, la famille Durivage a déménagé dans le nord de Montréal sur la rue Somerville. Le frère de ma mère était leur voisin.

  2. Suivez son regard
    N’oubliez pas de suivre la direction du regard de Dominique Nantel-Bergeron, grace aux yeux placés sur les plans pour situer la direction des photographies.

  3. Personnellement, j’apprends beaucoup de ces articles à travers l’histoire du Plateau. Je ne savais pas que la boulangerie Durivage était à cette époque dans le Plateau mais j’ai appris à la connaître quand je travaillais près de cette compagnie dans le quartier Rosemont sur la rue Dandurand en 1969.

  4. Le père de mon épouse Edmond St-Julien était employé chez Durivage et livrait leur pain avec sa charrette tirée par un cheval qui connaissait parfaitement son parcours. On le voie sur cette photo, dans les années 50, en train de montrer à ses deux fils Gilles et Marcel son attelage.

  5. Les photos ont tant à dire! On dirait que chaque détail peut devenir objet d’étude.
    Par exemple, c’est émouvant de voir comment a grandi le petit arbre derrière Gérard sur la photo 1. Faut dire qu’il était bien protégé, au départ, avec ses quatre planches de bois percées d’évents. On remarque d’ailleurs le même type de protection autour des arbres qui se trouvent à gauche sur la photo 5 de la Scène de rue 5. Il semble que la ville avait à coeur la survie des arbres. Il est désopilant de voir que la plupart des troncs sont aujourd’hui meurtris par les pelles des chenillettes qui débarrassent la neige des trottoirs.

    • Vous avez bien raison, et plus on les regarde, plus elles nous livrent leurs secrets!

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

HTML tags allowed in your comment: <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>