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Commentaire

Les premiers pas — 15 commentaires

  1. Merci mon amour de raviver certains souvenirs de ton enfance montréalaise, que je peux aisément mettre en scène dans ton récit captivant. Ayant grandi jusqu’à l’âge adulte en banlieu de Québec, certains éléments diffèrent, les ruelles et les pièces double n’étant pas courants mais les bonbons à cenne et la joie de jouer dehors étaient quant à eux bien présents!

  2. Un autre bon texte de notre ami Pierre Prevost concernant sa vie dans son quartier. C’est à lire

  3. Merci Pierre d’avoir partagé ce texte, il reflète bien la vie des années 60…
    Tu as une belle écriture, bravo!

    Andrée

  4. Pour les anciens du plateau comme moi c’est aussi la même chose et les lieux qui se ressemblent la vie en général pour ce qui est de la chanson du Maurier elle disait fumer du Maurier c’est si agréable les temps ont bien changé

  5. Merci Pierre pour ces souvenirs qui ressemble beaucoup aux souvenirs de plusieurs jeunes des quartiers environnant, dont le mien d’ailleurs. Les bonbons à 2 pour 1¢, les cornet tubulaire, les petits gâteaux Vachon, les retailles d’ostie et les mini sac de chips, on se régalaient à la moindre occasion. Merci encore pour ton partage.

  6. Merci pour votre petite histoire. Rappel pour moi aussi de ces grands logements où il y avait plusieurs enfants. J’ai bénéficié de la chambre convoitée étant la seule fille et l’aînée. J’habitais par contre le deuxième étage d’un duplex rue St-Hubert. J’ai vu la cour de haut jusqu’à l’âge où j’ai eu le droit d’y descendre. Mes cousins habitaient le 1er étage, nous étions 10 enfants sur 2 étages. Jeux de ballon, baseball et cowboys me reviennent en tête, patin l’hiver. Beaux souvenirs moi aussi.

  7. Bonjour,
    Le nom de famille de Donat était Mazerolle et était marié avec avec une demoiselle Doré dont le frère André Doré je crois était distributeur d’huile à chauffage dans le quartier.
    Exactement ce que tu as dit sur ce témoignage est très vrai.
    Nous demeurions sur Waverly 5952 et ensuite sur Esplanade 5897,mais c’était la même ruelle alors pas beaucoup de changement dans le décor de la ruelle qui nous menait au coin Bernard chez Donat.
    Encore une fois merci pour ces bons souvenirs.
    au plaisir de te relire encore !

    • Merci beaucoup de votre commentaire. C’est très apprécié ! Je demeurais au 5856 Waverly ! Nous étions donc vraiment voisins !!!! Peut-être connaissiez-vous les Charbonneau qui demeuraient au dessus de chez nous (grosse famille, 12 enfants !!!!). Ou les Cyr un peu plus haut. Les Lamy, Galipeau ou Desjardins ? Ou encore les Trépanier (autre grosse famille), rue Esplanade justement.
      La suite avec les commerces de la rue Bernard sera publiée bientôt ! Au plaisir !!!!

  8. Beau texte qui relate de si beaux moments de jeunesse. Je suis sûr, que ça vient de brasser bien des souvenirs dans la tête de ceux qui ont passé leur jeunesse sur le Plateau dans les années 50-60. Pour ma part, au fur et à mesure de ma lecture, il y en a plein de souvenirs qui me sont revenus à ma plus grande joie! Merci d’avoir partager tout cela!

  9. Merci mon frère pour ces beaux souvenirs. Dans ma chambre on entendait la pluie tomber sur le toit de la “shed” en tôle c’est encore un de des plus beau souvenir de ma jeunesse.. Comme j’adorais lire je me rappelle avoir passé des heures à lire la comtesse de Ségur. Tandis qu’au salon il fût le lieu où on a regardé comme tu dis si bien le Canadien, les Plouffe et la lutte le mercredi soir.
    Merci d’avoir mis des mots sur cette époque de notre vie..😘❤

    • À la lecture de votre commentaire, je retiens : …Dans ma chambre on entendait la pluie tomber sur le toit de la « shed » en tôle c’est encore un de des plus beau souvenir de ma jeunesse.
      Je trouve simplement magique d’énoncer un tel souvenir. Cela montre bien qu’à l’époque de notre jeunesse, le bonheur se présentait souvent sous des “habits bien ordinaires”. De simples choses pouvaient nous mettre dans un état de “plénitude” et de tranquilité qui ne sembent plus possibles aujourd’hui. D’une certaine façon, c’est bien triste !

  10. J’aurais pu écrire un même texte.
    Très chaleureux témoignage.
    Le corridor, le salon-double, la chambre convoitée, les «bonbons à la cenne», la proximité conviviale (de façon générale) avec les voisins immédiats, etc. J’ai passé des milliers d’heures à quatre pattes dans la cour en poussière de pierre, à moi aussi tracer des chemins pour mes «Dinky toys».
    Je pense que les enfants devaient tous avoir un «modus vivendi» à peu près semblable.
    Merci à Pierre Prévost pour ces témoignages si vivants et pour enrichir le contenu du blog de la SHP.

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