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Commentaire

Scène de rue 12. La dernière Scène, sur fond de krach — 19 commentaires

  1. Ce fut un réel plaisir de lire vos écrits. J’ai habité plusieurs années au 5071 et 5079 Garnier et j’ai adoré ce quartier. Un gros merci

    • Merci! Une très belle rue… Je n’avais pas précisé les adresses… De 1926 à 1928, Oscar-Eugène Leduc et sa famille habitait au 4817 Garnier. Ensuite, ils ont emménagé au 5020 Garnier, où ils ont vécu jusqu’en 1930.

  2. Un peu triste de voir la fin de cette saga familiale. J’ai apprécié ces Scènes du début à la fin. Quel beau travail !

  3. Comme votre texte et les autres sont émouvants…
    Que de pages d’histoire immortalisées alors que pour bien des familles, tout disparait et est oublié. C’est un beau témoignage d’amour et de fidélité.
    Pour votre oncle Paul-Emile, il était dans le même escadron que mon père, Jean Ouellet. Si vous le vouliez vous pourriez peut-être transmettre quelques une de ses photos ou son histoire. Ils ont beaucoup de liens et de photos. Je vous joins le lien
    https://425alouette.wordpress.com/about/
    À droite les noms des aviateurs, avec souvent des notes et des photos.

    • Incroyable cette histoire d’escadron. Je vais explorer le lien suggéré, merci. Je voudrais simplement souligné que j’ai fait la rencontre de Paul-Émile et de sa famille à travers les photos de ma grand-mère. C’est donc dire presque en même temps que vous! Malgré que Paul-Émile ait été le cousin de mon père, je n’en avais jamais entendu parler avant 2021 !

  4. Bravo Dominique, ce que tu as comme talent me fascine. Je viens tout juste de trouver encore des scrapbooks de Guillaume Beaulieu (fils de Valérie Nantel) et si j’avais un talent comme toi, j’aurais bien des choses à partager!

    • Merci Denyse ! Des photos anciennes encore. C’est formidable ! Et tu piques ma curiosité!

  5. Je ne suis jamais bien intéressé ou bien attardé à l’histoire des pharmacies sauf peut-être à la grande pharmacie de Montréal sur la rue Sainte-Catherine, je pense. La pharmacie Leduc a sonné une cloche, une amie de mon passé m’en parlait elle avait commencé à y travailler au labo et comme commis elle habitait au coin des rues Papineau et Bélanger dans les années 60-70. Je pense qu’aujourd’hui c’est une pharmacie Jean Coutu qui l’a remplacée.

    • Un bizarre de souvenir de mon enfance me revient en pensant aux pharmacies Leduc & Leduc où travaillait mon grand-père. Il nous avait envoyé pour Noël une boite remplie de médicaments, pansements et autres… Drôle de cadeau… Il y avait entre autre, du Trulfa, un sirop rose au goût de craie. Mon père nous en donnait une cuillerée pour à peu près tous les maux. J’en raffolais, mais j’étais bien la seule de la fratrie.

  6. C’était immense ce récit; et l’histoire riche d’une famille du Plateau qui semblait très heureuse de ses enfants.
    Ces enfants semblaient également très heureux de vivre en tricycle au bord des toits. On n’écrit quand même pas une histoire extraordinaire en ne se contentant que de jouer, assis sur le gazon. Si l’on souhaite jouer plus prudemment, on peut toujours faire des tours du bloc en tricycle.
    Les petits garçon pourront même prendre des passagères et les faire crier en roulant trop vite et en tournant trop rapidement,… sur deux roues.

    • C’est gentil votre commentaire, ça me touche!

      Des passagères à l’arrière, qui crient en roulant trop vite… Votre dernière phrase puiserait-elle dans le vécu ?

  7. La suite est-elle pour bientôt ?
    Nous avons hâte que Dominique, nous raconte cette fois, après des scènes de rues des scènes d’intérieurs.

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