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Commentaire

École primaire Saint-Stanislas — 16 commentaires

  1. Bonjour
    Petite précision:
    L’école des Saint-Anges a été transformée en coopérative d’habitation et non en condos.
    Pour ma part, j’ai fréquenté l’école Saint-Stanislas et habitait au 1559 Gilford à côté de l’épicerie Soucy.
    Merci pour tous ces souvenirs.

  2. Bonjour.

    Petite précision.
    L’épicerie Soucy était situé au coin de Gilford et Fabre: du côté Nord-Est.
    La buanderie chinoise a été un certain temps, du côté Nord-Ouest.
    Notre famille vivait au 2e étage: 1581 rue Gilford.

  3. Merci pour vos textes toujours rafraîchissants et qui m’inspirent. Vous avez probablement croisé mon frère au primaire. Au plaisir!

    • C’est bien possible; il est peut-être présent sur une des nombreuses de photos de classe que je possède.
      Chaleureusement.
      Robert Caron

    • Mes photos de classe sont maintenant publiées; vous pourriez y identifier votre frère.
      Je partage avec vous les doux plaisirs de des souvenirs.

  4. J’ai fréquenté l’école Paul Bruchési dès 1960. La directrice s’appelait Jeanne-D’Arc Latour. Ma prof de première année s’appelait Thérèse Falardeau. J’ai encore quelques bulletins de cette époque.
    5ième année à l’école des Saints-Anges. Je demeurais au 4830 Chambord tout juste en face de l’école Paul Bruchési et l’école Saint-Stanislas. Mon grand-père a été sacristain de la paroisse durant 25 ans et ce jusqu’à son décès accidentel en décembre 1969. J’ai également été Croisée. Mes grands-parents paternels demeuraient sur la rue Gilford non loin de l’épicerie Soucy.

    • L’épicerie Soucy, près de Marquette, je crois. Le père d’un copain d’école y travaillait et était apparenté dans mon souvenir au propriétaire de l’épicerie.
      Ma soeur Jocelyne a débuté sa première année à Bruchesi en septembre 1959 et a poursuivie aux Saints-Anges
      Est-il vrai qu’il n’y avait pas de photos scolaires pour les filles à Bruchesi ou à des Saints-Anges ?
      J’ai très certainement croisé votre grand-père car l’église était le centre de nos manifestations religieuses
      Au plaisir

      • En ce qui me concerne je n’ai aucune photo scolaire de cette époque.
        Mes grands-parents paternels demeuraient au 1599 Gilford (près de Marquette).

  5. Notre collaborateur Robert Caron n’est pas chiche de ses souvenirs et ils sont toujours aussi savoureux. J’inviterais encore Robert Pilon a récidiver avec ses souvenirs. Son texte sur l’épicerie du grand-père était excellent et ce serait plaisant de le lire à nouveau. J’ai hâte de lire la suite des «aventures» de Robert Caron.

  6. C’est toujours un plaisir de vous lire, raconter votre vécu dans de différentes étapes de votre vie le milieu scolaire. Moi, mes souvenirs scolaires de Montréal se limitent à une école du Plateau Saint-Pierre-Claver de mai 65 au printemps 66, aux Frères de l’Instruction Chrétienne, à quelques retenues, au frère Armand directeur et discipline, au frère Claude pour la botanique, au frère Jacques titulaire qui plus tard s’est défroqué. En pleine crise d’ado, c’est là que je suis moi-même parti.
    Pour ce qui est de la « strappe », oui on appelait ça recevoir la « banane ».

  7. Je suis toujours impressionné par la mémoire phénoménale de certains qui se souviennent d’autant d’anecdotes de leurs études au primaire.

  8. On a eu le même cheminement scolaire. Je croyais être le seul à se souvenir de ma première professeur, Mlle Sylvestre, mais non. En plus, j’ai à mon c.v. de St-Stanislas, enfant de choeur et enfant de la chorale, dirigée au début par le frère Jean-Marie Bernier et remplacé par le frère Michel Gravel. Il y a eu aussi le frère Duval, qui s’occupait du comptoir d’articles scolaires où l’on pouvait acheter crayons, papier et autres. Beaux souvenirs, merci!

    • Je possède ma photo de classe de 1iere année avec Mme Sylvestre. Je vais l’envoyer pour publication dans le blog. Cela vous rappellera sans doute de beaux souvenirs.

  9. Pour la deuxième fois je note que la ‘’strappe‘’, plus familièrement appelée la ‘’banane‘’, instrument de châtiment hautement redouté et symbole incontesté était quelques fois de rigueur (dans le temps heureusement).
    Revoir les souvenirs d’école primaire de Pierre Prévost

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